POUSSIÈRES D’ÉTÉ POUSSIÈRES D’AUTOMNE (CARNET FILMÉ : 24 juillet 2013 – 10 novembre 2013)Année : 2013. Durée : 1 H 05'
Fiche technique :
Réalisation, concept, image, son, montage : Gérard Courant.
Interprétation : Christophe Salengro, Michael Erpelding, Vanessa Mioli, Valentine Gérard, Sébastien Venvoorden, Olivier Espanel, Serge Czarnecki, Marin Czarnecki, Anne Teyssèdre.
Production : Les Amis de Cinématon, Les Archives de l’Art Cinématonique, La Fondation Gérard Courant.
Diffusion : Les Amis de Cinématon.
Tournage : 24 juillet 2013 au 10 novembre à Saint-Marcellin (France), Bourg-lès-Valence (France), Valence (France), Montreuil-sous-Bois (France), Lyon (France), Toulouse (France), Jarnioux (France).
Version : Française.
Format : Vidéo Mini-DV.
Cadre : 4/3.
Procédé : Couleur et Noir et blanc.
Collection publique : BNF (Bibliothèque Nationale de France), Paris (France).
Dédicace : Le film est dédié à Éric Rohmer.
Poussières d’été Poussières d’automne (24 juillet 2013 au 10 novembre 2013) est un épisode des Carnets filmés de Gérard Courant qui se déroule entièrement en France.
Dans cet épisode, Gérard Courant nous montre :
-La ville de Saint-Marcellin, dans le Dauphiné, où il vécut dans son enfance.
-La compression de son film Promenade dans les lieux de mes vacances enfantines bourcaines.
-La Compression de son film Promenade dans les lieux de mes vacances enfantines valentinoises.
-De la fenêtre de son habitation, une vue de Montreuil-sous-Bois.
-La Compression de son film Seulement Lyon, sa ville natale.
-La Compression de son film Visite officielle avec parade du Président Grolandais Salengro à Toulouse.
-Une rencontre avec Anne Teyssèdre, la comédienne de Conte de printemps d’Éric Rohmer (à qui ce film est dédié).
-Le marché de Saint-Marcellin.
-Le Rhône, les Boulevards, l’esplanade du Champ de Mars, le kiosque à musique Peynet, le parc Jouvet à Valence.
-Le village de Jarnioux dans le Beaujolais.
Elle fut Jeanne dans Conte de printemps, le film d’Éric Rohmer. Belle, émouvante. Naturelle. Elle prétend (dans une interview avec Gérard Courant) n’en pas être l’héroïne principale. Pourtant, on ne se souvient que d’elle. De son regard profond, énigmatique aussi. Une actrice qui marque. »
(Jacques Aboucaya, Service littéraire, numéro 114, février 2018)
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