Année : 2020. Durée : 1 H 05'
Fiche technique :
Réalisation, image, son, montage : Gerardus Courant (Gérard Courant).
Musique : musique traditionnelle arménienne.
Interprétation : Élisabeth Moncoutié, Layal El Khoury, Francine Dubois, Neha Sharani, Sanae Chouika, Georgina Purrakal, Sarah Tanner, Magdalena Valverde, Kay Simpson.
Production : La Fondation Gérard Courant, Les Amis de Cinématon, Les Archives de l’Art Cinématonique.
Diffusion : Les Amis de Cinématon.
Tournage : 14 au 20 avril 2011, 7 au 16 décembre 2011, 10 au 16 avril 2012, 7 au 18 décembre 2012 à Dubaï (Émirats Arabes Unis).
Format de tournage : Vidéo Mini-DV.
Caméra : DV Sony.
Cadre : 4/3.
Procédé : Couleur.
Collection publique :
-BnF (Bibliothèque nationale de France), Paris (France).
Première diffusion publique : Site YouTube, 9 juin 2020.
Prix, récompenses, distinctions, palmarès :
-Fait partie de la liste de 18 films, dumbass movies 4 free, établie par Dylan Clark, site Letterboxd (Nouvelle-Zélande), 2020.
-Fait partie de la liste de 205 films, 2020 - Ranked, établie par OriginalName3, site Letterboxd (Nouvelle-Zélande), 2021.
-Fait partie de la liste de 1416 films, le donne fantastiche, établie par crowhurst, site Letterboxd (Nouvelle-Zélande), 2021.
Placé sous les auspices du philosophe Gaston Bachelard dont la maxime : « L’amour n’est qu’un feu à transmettre ; le feu n’est qu’un amour à surprendre », est cité en exergue du film, Ignis (« feu » en latin) est un ciné-poème de Gérard Courant à la gloire de neuf femmes – celles que l’on avait découvertes dans ses films précédents La Femme qui pleure dans les nuages, À quoi rêvent les montagnes ? et Les Ombres mystérieuses des fantômes disparus – qui, pour renaître, se plongent dans les flammes dévorantes du temps.
Ignis est le quatrième volet de la tétralogie Neuf femmes composée également de La Femme qui pleure dans les nuages, À quoi rêvent les montagnes ? et Les Ombres mystérieuses des fantômes disparus.
English
Film-poem by Gérard Courant to the glory of nine women plunged into the consuming flames of time.
La flamme ne cache pas la femme, la femme dans son regard ouvre son visage qui n'a pas d'âge, ce regard cache cet autre hors champ qui attend sans le savoir, mais est-il si présent, si recommandable cet homme si impatient... Les voix appellent le silence comme la beauté appelle l'immobile, ce bref instant qui disparaît à chaque instant.
Le feu ou la flamme ? Ne surtout pas choisir, choisir c'est renoncer comme disait Gaston Lacan.
Merci Mr Courant à tout de suite et Merci Gaston toujours dans son épistémologie.
(Dominique Bichon, YouTube, 9 juin 2020)
The flame does not hide the woman, the woman in her gaze opens her face which has no age, this gaze hides this other off-screen who waits without knowing it, but is he so present so commendable this man so impatient... The voices call for silence as beauty calls for the motionless.
(Dominique Bichon, YouTube, 9 juin 2020)
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